Travaillant dans la cybesécurité, un domaine passionnant à bien des égards, en parallèle à ma passion du jazz, je maintiens un blog sur la cybersécurité où j'ai eu l'occasion d'écrire deux articles comparant le jazz à la cybersécurité : 

• le premier compare les deux activités,
• le second décrit comment le jazz peut aider à résoudre l'une des plus grosses difficultés en cybersécuirté : le recrutement.

Ingénieur de formation, je suis né en 1974 (année du décès du Duke), et je travaille dans la cybersécurité.

J'ai la passion du jazz depuis mon plus jeune âge : à 10 ans, j’ai découvert avec enthousiasme la musique de l'Arnaque, j'ai appris le piano en jouant des ragtimes, puis la musique gaie et virevoltante de Claude Bolling.
Par la suite, je me souviens de ma grande émotion en découvrant Louis Amstrong, que j'ai commencé à écouter  à l'âge de 12 ans.
La dramaturgie et la mythologie du jazz m'est apparu alors au cinéma avec le film de Bertrand Tavernier "Autour de Minuit" et son personnage principal Dale Turner, mélange de Lester Young et de Bud Powell, interprété magistralement par Dexter Gordon
Puis, comme beaucoup de gens de ma génération, j'ai appris à aimer un jazz plus moderne et étrange avec la musique de Miles Davis des années 80.
Mais ma première grande et profonde émotion a été la rencontre avec la musique de Michel Petrucciani que j'ai eu le privilège immense de voir en concert deux fois : une fois en 1992, une autre en 1997.

Biberonné au piano depuis l'âge de 10 ans, j'ai découvert l'infinie liberté qu'offre l'improvisation à 15 ans, puis je me suis lancé dans le jazz en groupe lorsque j'étais étudiant.

Mais par la suite, j'ai mené mené ma vie d'homme et me suis un peu écarté des chemins du jazz.

 
Mais depuis la période du Covid, je suis retombé pour de bon dans la marmite du jazz : une passion chevillée au corps, qui raisonne jusqu'aux plus tendres moments de mon enfance, et qui m'anime avec ferveur. Je vis ma vie de pianiste amateur avec enthousiasme, tantôt en apprenant au contact de professeurs qui me font partager joyeusement, tantôt en tant que pianiste au sein de groupe de jazz se produisant parfois en public.